

Aya, une jeune lycéenne passionnée de dessin, est soupçonnée d’avoir eu une aventure avec son professeur d’arts plastiques et a perdu l’estime de ses camarades. Afin d’éviter toute confrontation avec eux, elle n’a d’autre choix que de les fuir et mène sa scolarité dans une grande solitude. Jusqu’au jour où son lycée accueille un nouvel élève, Aimu. Ce beau blond aux yeux bleus, repère tout de suite la jeune fille terne et cherche d’emblée à créer une relation intime avec elle. Méfiante et peu sûre d’elle, Aya ne semble pourtant pas prête à ouvrir son cœur meurtri…


Je connais de nom le manga Mon coloc d’enfer, je n’entends que du bien de ce manga d’ailleurs. Mais j’avoue que je ne l’ai pas encore lu bien qu’il me tente énormément mine de rien! J’ai su après avoir acheté cette duologie que c’était de la même mangaka, autant vous dire que je suis d’autant plus intriguée désormais!En tout cas concernant Une si belle couleur, je dois avouer que ce premier tome m’a touché en plein coeur. Il frôle même le coup de coeur. Bon dieu mais qu’est ce que j’ai aimé cette histoire! Elle m’a fait de la peine, m’a mise en colère, m’a émue, m’a touchée. Wow, ça faisait longtemps qu’un manga ne m’avait pas fait autant d’effet!
On va suivre le personnage de Aya, une jeune lycéenne passionnée de dessin. Elle est soupçonnée d’avoir eu une relation avec son professeur d’arts plastiques et elle a donc perdu, par la même occasion, l’estime de ses camarades. Afin d’éviter toute confrontation acec eux, elle n’a plus d’autre choix que se rendre invisible aux yeux de tous. Elle mène donc sa scolarité dans la plus grande des solitude. Mais tout va changer lorsqu’un nouvel élève fait son entrée dans le lycée. Aimu, ce beau métisse, blond aux yeux bleus repère directement Aya et cherche d’emblée à créer une relation avec elle. Mais Aya est très méfiante et surtout très peu sûre d’elle..
Cette histoire, je la qualifierais de merveilleuse. Elle est terriblement belle et j’avoue qu’elle m’a touchée en plein coeur. Mon coeur est actuellement une guimauve dégoulinante d’amour! Non vraiment, ce premier tome était terriblement mignon. Bien que ça aille assez vite entre les deux personnages, ce n’est pas du tout niais comme on pourrait le croire. Et ça, ça m’a beaucoup plu. Je suis assez difficile quand il y a de la romance dans une histoire parce que je déteste tout ce qui est trop nian nian ou niais. Déjà dans la vraie vie, je ne supporte pas ça alors ce n’est pas pour me farcir ça dans mes lectures! Ici on a une très belle histoire et j’aime surtout voir à quel point Aimu est bénéfique pour Aya. C’est lui qui lui redonne l’envie de dessiner, c’est lui qui lui redonne le sourire. Il a vraiment un impact positif sur Aya.
Concernant les personnages, j’ai vraiment beaucoup aimé celui d’Aya. Elle est si touchante! Elle m’a vraiment fait beaucoup de peine. La voir essayer de se rendre complètement invisible aux yeux des autres, essayer de se faire oublier pour éviter de se prendre une avalanche de reproches dans la face. Alors que dans cette histoire elle est totalement innocente et ça ça me révolte. La voir se faire lyncher par ses camarades est une chose mais la voir aussi se faire dénigrer par le corps enseignant, ça m’a vraiment mise hors de moi. Aimu, je l’ai énormément apprécié également! C’est un jeune homme vraiment aimable, d’adorable. J’aime la façon qu’il a de prendre soin de Aya, c’est vraiment très mignon. Il est très touchant également à sa manière. Mais ce qui est encore plus mignon, c’est bien le couple qu’ils forment tout les deux.
Ce premier tome était vraiment excellent et j’ai tellement aimé! Je vais de suite me jeter sur le second et dernier tome de cette merveilleuse duologie. L’histoire est touchante, les personnages le sont tout autant. C’est une merveilleuse découverte que je ne regrette pas le moins du monde d’avoir acheté. Je suis vraiment fan de cette histoire qui m’a émue, qui m’a touchée. J’ai hâte de voir l’évolution de la relation entre Aya et Aimu.

Après avoir lu le second tome, je peux désormais revenir sur mon jugement. Ce manga n’a pas frôlé le coup de coeur, en vérité c’était un énorme coup de coeur! Pour tout avouer après avoir tourné la dernière page, j’ai eu les larmes aux yeux et ça ne m’arrive que très peu voir même jamais en vérité lorsque je lis un manga. Mais là wow, clairement j’ai été touchée au plus profond de mon coeur par cette merveilleuse et incroyable histoire d’amour.
Dans ce second tome, on retrouve Aimu désormais en couple avec Aya. Grâce à lui, elle a enfin réussi à panser ses blessures les plus profondes. Mais elle a également retrouvé goût à la compagnie des autres surtout elle a repris goût à sa passion: le dessin. Mais au fil du temps, elle découvre que ce garçon rayonnant et si solaire qu’elle aime tant, cache au plus profond de lui une immense tristesse. C’est donc, tout naturellement, au tour d’Aya d’aider Aimu à retrouver le goût de la vie.
Ce tome était tout aussi incroyable que le premier. Si dans le tome précédent on voit Aimu aider Aya, ici c’est l’inverse qui se produit. Aya va aider Aimu à reprendre du poil de la bête, à mieux apprécier la vie. Et je trouve ça dingue de voir à quel point ils ont un impact plus que positif sur leurs vies mutuelle. Ce sont de véritables âmes soeurs et ça se sent au plus profond. C’était beau, c’était mignon, c’était adorable et surtout c’était une histoire plus que touchante. Pendant un moment, j’ai eu peur quant à la finalité de cette histoire. Elle commençait à prendre un tournant que je n’aimais pas trop mais finalement tout se finit comme je voulais qu’elle se finisse.
J’ai vraiment adoré cette duologie. C’est une histoire qui nous prend aux tripes, qui nous remplit le coeur de bonheur et d’amour. J’ai été plus que conquise par ces deux tomes que j’ai trouvé fantastique. Ces personnages sont merveilleux, l’histoire est merveilleuse. J’aime la relation entre les personnages et surtout cette histoire nous prouve que si deux personnes sont faites l’un pour l’autre, peu importe le temps, peu importe le moment, elles finiront toujours par se retrouver un jour ou l’autre.

Une réflexion sur “Une si belle couleur de Keiko Iwashita”