Les lectures de Floriane

À tout juste 11 ans, Cinder découvre New Bejing et sa nouvelle famille. De l’Europe et de ses vrais parents, elle n’a aucun souvenir. Elle ne sait d’eux que ce que son beau-père lui a appris : ils sont morts dans un accident qui a aussi failli lui coûter la vie. Pour la sauver, les médecins ont dû lui greffer une main et une jambe de robot. Cinder a des difficultés à s’habituer à son nouveau corps de cyborg. Sans parler des informations encyclopédiques qui sont projetées dans son champ de vision sitôt qu’elle est confrontée à une situation inconnue.

Si elle se lie facilement d’amitié avec ses nouvelles sœurs, Pearl et Peony, Cinder comprend très vite que sa belle-mère ne l’accueille pas de gaité de cœur. Et le drame qui menace sa famille d’accueil ne va rien arranger…

Les Chroniques lunaires est une de mes sagas préférées. Je suis vraiment beaucoup trop fan de cette saga bien que je ne l’ai pas encore terminé. Je suis à la fois impatiente de la terminer (il ne me reste plus que Winter et Levana à lire) et en même temps je suis affreusement triste parce que je n’aime pas finir mes sagas. Devoir quitter un univers que j’aime tant, avec des personnages que j’aime tant, ça me brise le coeur et je déteste les finir. C’est bien pour ça d’ailleurs que j’en commence trois mille en même temps, ça me fait durer le plaisir haha.

Cette chronique sera bien évidemment très courte puisqu’il s’agit au final d’une nouvelle d’une quarantaine de pages. Donc en soit, il n’y a pas grand chose à dire. Mais je tenais tout de même à laisser une petite trace sur mon blog. J’aime beaucoup ce genre de petites nouvelles, souvent on apprend pas mal de choses ou on découvre des choses qui ont de l’importance dans les romans. Ici on est sur un prequel, on va dire que si on veut vraiment lire tout dans l’ordre chronologique, c’est cette nouvelle que vous devrez lire en premier.

Ici, on va suivre Cinder qui va découvrir sa nouvelle famille et surtout sa nouvelle vie. On la voit arriver d’Europe avec Garan pour désormais vivre à New-Bejing. A 11 ans elle n’a aucun souvenir de son ancienne vie, ni de ses véritables parents. Tout ce qu’elle sait lui vient de son beau père, ses parents sont morts dans un accident qui a failli lui coûter la vie et pour la sauver les médecins n’ont pas eu d’autres choix que de lui greffer une main et une jambe de robot, faisant d’elle un cyborg. Cinder a beaucoup de difficultés à s’y faire, encore plus lorsqu’elle se retrouve avec des masses d’informations dans son champ de vision quand elle fait face à une situation inconnue. Elle se lie très vite d’amitié avec Peony sa nouvelle petite soeur mais elle voit bien que sa belle-mère, Adri, ne l’accueille pas de gaité de coeur..

On découvre donc, ici, Cinder lorsqu’elle arrive d’Europe dans sa nouvelle famille. Peony l’a de suite adopté, elle n’a pas peur de sa différence contrairement à Adri. J’ai toujours aimé le personnage de Peony et la découvrir là me fait encore plus l’aimer. Dommage qu’on ne la voit pas plus longtemps.. Adri est toujours fidèle à elle même, détestable au plus haut point et vraiment affreuse avec Cinder… On découvre le personnage de Garan, pas énormément non plus mais au moins on fait sa rencontre. On va découvrir également le moment où il contracte la létumose, je dois bien avouer que ce passage m’a fait beaucoup de peine. Mais je crois que mon passage préféré de cette nouvelle, c’est lorsque Cinder répare Iko. On comprend même pourquoi Iko se comporte un peu comme une humaine souvent.

Dommage qu’il n’y avait pas plus de pages parce que c’était vraiment super sympa de découvrir la vie de Cinder au moment de son arrivée à New-Bejing. J’aime beaucoup sa relation avec Peony, elles étaient si belles toutes les deux et on sent qu’il y avait un vrai attachement entre les deux. J’ai vraiment adoré ma lecture, même si elle fut très courte, c’est toujours agréable d’avoir quelques informations comme celle ci en plus. Ça nous permet de découvrir certaines choses, d’avoir de nouvelles informations et j’en passe. Et puis quand on aime un univers autant que j’aime celui des Chroniques lunaires, ça fait toujours plaisir de rester un peu plus longtemps plongé dans celui ci!