Blue period de Tsubasa Yamaguchi

Yatora est un lycéen studieux à qui tout réussit. Pourtant, il ressent depuis toujours une impression de vide en lui. Jusqu’au jour où, par hasard, il tombe sur un tableau qui le subjugue littéralement… Très vite, Yatora réalise que peindre est le seul moyen de faire passer ses émotions et de se révéler. Cet événement le pousse à se livrer corps et âme à la peinture pour tenter le concours d’entrée de la plus sélective des écoles de Beaux-arts !

C’est la première fois que je lis un manga qui a pour thème l’art et plus particulièrement la peinture. Ce n’est pas un thème qui m’attire d’habitude mais franchement j’ai été agréablement surprise. Ce fut même un coup de cœur pour tout vous avouer. J’ai trouvé ce premier tome très prometteur et incroyablement beau à lire.

Les illustrations sont vraiment merveilleuses à découvrir. Elles rendent la lecture encore plus passionnante qu’elle ne l’est déjà de base. Le coup de crayon du mangaka est merveilleux. C’est d’une beauté absolument pure. Comme je le dis l’histoire est déjà passionnante en temps normal. Mais les illustrations apportent vraiment quelque chose en plus. C’est d’une beauté vraiment époustouflante.

On va suivre le personnage de Yatora, un lyceen studieux. Depuis toujours, il ressent une  sensation de vide en lui. Un vide qu’il va essayer de combler. Un jour, il va se retrouver face à un tableau qui va le subjuguer complètement. Il va découvrir qu’à travers la peinture il peut désormais se révéler et faire passer ses émotions à travers ses tableaux. Il va se découvrir une vraie passion et ça va le pousser à se livrer corps et âme pour tenter le concours d’entrée de la plus sélective école de beaux arts!

J’ai adoré l’histoire, elle est vraiment passionnante. On découvre le monde de la peinture, des cours d’arts etc. C’est un sujet dont on parle assez peu d’ailleurs et je trouve que traiter ce thème est vraiment intéressant. J’ai appris quelque trucs d’ailleurs que je ne savais absolument pas! On se rend compte qu’il y a également beaucoup de pression pour ceux qui veulent intégrer les écoles de beau art! Le concours d’entrée est tellement sélectif sur les étudiants ont vraiment une pression de dingue sur les épaules!

J’ai beaucoup aimé le personnage de Yatora. Je l’ai trouvé très touchant et le voir s’épanouir grâce à la peinture. On découvre un tout nouveau Yatora d’ailleurs! On sent qu’il a trouvé sa voie, LE truc qui le fait vibrer. On sent même qu’il est vraiment passionné par le dessine, il fait tout pour se surpasser, continuer d’apprendre encore et encore pour s’améliorer. Il a un vrai talent en lui et a clairement toute ses chances pour le concours d’entrée! 

J’ai vraiment hâte de découvrir le deuxième tome de cette série. Je sens que ça va devenir un de mes mangas préféré de l’année. Les illustrations sont magnifiques, les personnages passionnants, le thème du manga est fascinant. En bref tout ce premier tome est incroyable. Je ne peux que vous conseiller d’ailleurs! Foncez il vaut largement le coup!

Le premier tome avait été une vraie révélation pour moi. Un véritable coup de coeur, j’ai adoré le thème de l’art présent dans le manga. C’est la première fois que j’en lis un avec ce thème et franchement c’est absolument génial. Le deuxième tome est clairement dans la lignée du premier. Ce manga est tout bonnement remarquable. J’ai tellement hâte de découvrir l’animé, je sens que ça va être super à découvrir.

Dans ce second tome, on retrouve Yatora toujours aussi motivé a intégrer une fac d’art. Il est toujours aussi passionné et ne cesse de faire en sorte de s’améliorer. Il continue de suivre assidûment ses cours. Mais le problème de Yatore c’est qu’il n’a pas confiance en lui, il ne cesse de se remettre en question et a clairement peur de l’échec. Mais il ne ce laisse pas abattre et à toujours le projet de rentrer dans la prestigieuse université de Geidai!

J’aime vraiment beaucoup le personnage de Yatora. Ce personnage est tellement touchant. J’aime sa force de caractère, même si il a peur de l’échec, qu’il se remet en question quasiment en permanence, qu’il doute de lui tout le temps il ne lâche rien, jamais et continue de se perfectionner et son envie d’intégrer la prestigieuse université de Geidai. Il se donne tous les moyens pour réussir ses objectif et ce, malgré sa peur de l’échec. Franchement, sa froce de caractère est vraiment remarquable.

Le thème de l’art me passionne toujours autant. Ce n’est pas un univers qui me passionne dans la vie mais ici, dans ce manga, on apprend tellement de choses que ça en devient vraiment intéressant. Tout comme dans le premier tome, j’ai appris énormément de choses durant ma lecture. C’est tellement plaisant. Il permet d’enrichir notre culture général et ça il faut le dire ça fait pas de mal d’apprendre de nouvelles choses.

Ce manga est un manga extrêmement touchant je trouve. Les émotions que Yatora ressent lorsqu’il peint ou qu’il dessine c’est indescriptible. Elles sont tellement forte que même nous en tant que lecteurs on a l’impression de les ressentir également. C’est une de mes plus belles découvertes en cette année 2021 pour le moment. J’ai déjà plus que hâte de découvrir le troisième tome et la suite pour Yatora.

Cette année fut remplie de merveilleuses découvertes avec toutes ces nouvelles sorties. Blue period en fait partie. Ce manga est un énorme coup de coeur et ce depuis le début. Les deux premiers tomes étaient tout simplement incroyable. C’est un manga qui nous fait ressentir tout un tas d’émotions qui nous apprend énormément de choses. Et rien que pour ça, ce manga vaut le coup. Le troisième tome est clairement dans la lignée des deux autres, encore une fois un tome de grande qualité. J’ai très très hâte de découvrir l’adaptation en anime. Je suis vraiment impatiente de voir ce que ça va donner!

Je trouve le personnage de Yatora tellement intéressant à suivre, tellement bien travaillé. C’est un vrai bonheur de le suivre dans son quotidien. Voir son évolution dans sa façon de dessiner, d’appréhender ses oeuvres etc, le voir se remettre en question un bon nombre de fois.Je trouve qu’il est vraiment très courageux et surtout très ambitieux. Lui qui est complètement novice en art qui se lance corps et âme là dedans et surtout qu’il vise la meilleure école. Je trouve ça vraiment courageux. On voit en plus qu’il se donne vraiment les moyens pour réussir et mettre toutes les chances de son côté. on voit que depuis le premier tome il a vraiment évolué. Je le trouve également très touchant et c’est vraiment quelqu’un de bien.

Ce que j’aime également dans ce manga c’est le fait que le thème parle à tout le monde. Même quand l’art est quelque chose de complètement inconnu pour moi, tout me parle, découvrir comment un artiste achemine sa pensée pour son tableau, comment il va s’y prendre etc toute la réflexion etc. Faire un tableau ce n’est pas juste prendre ses pinceaux et peindre. Il y a tout un travail de perspective, d’angle de vue etc. Et à travers Yatora on découvre tout ce cheminement pour faire une oeuvre. Et je trouve ça génial, ça nous permet de découvrir tout un tas de choses!

Ce manga ne cesse de me surprendre, dans le bon sens. Il devient de plus en plus intéressant. C’est toujours un plaisir de suivre Yatora dans son aventure pour être admis dans l’école d’art qu’il vise. Tout dans ce manga est absolument parfait. Les dessins, le thème, l’intrigue, tout. J’ai déjà très hâte d’avoir la quatrième tome entre les mains!

Ce manga est, je crois, une de mes meilleures découvertes de ces derniers temps. Clairement je ne pensais pas que j’aurais autant apprécié cette histoire qui parle d’art et pourtant. Ce n’est pas un thème que je maitrise ni qui me passionne. Et pourtant ce manga est incroyable et j’aime en apprendre plus sur les différentes techniques pour dessiner etc. Je dirais même que c’est ce côté pédagogie qui me plaît dans ce manga. Quand on est complètement novice dans ce milieu, découvrir les différentes techniques etc, c’est vraiment hyper intéressant je trouve! Et c’est une des choses que je préfère dans ce manga.

Dans ce quatrième tome, on retrouve Yaguchi à un mois de l’examen d’admission de Geidei! Mme Ooba, la professeur d’art pointe toutes les faiblesse de Yaguchi. Un vrai coup dur pour lui qui se donne corps et âme dans sa préparation. Elle a fait ça pour qu’il puisse justement s’améliorer avant l’examen. Mais le problème c’est que Yaguchi perd totalement pied. A quelques semaines d’avoir sa première épreuve il est complètement submergé par la panique et son corps lui fait ressentir. Mais pas questions pour lui de renoncer !

Yaguchi est vraiment un personnage que je trouve inspirant. Il s’est lancé dans un vrai challenge. Lui qui est totalement inconnu à ce milieu finit par travailler pour réussir le concours de la plus prestigieuse école d’art. Il est vraiment ambitieux et ne lâche rien. Même quand mentalement et physiquement ça ne va pas trop, il ne lâche rien du tout et se donne vraiment les moyens de réussir ses objectifs coûte que coûte! Et pour ça je le trouve tellement inspirant. Malgré la panique qui l’envahit il réussit à finir sa première épreuve alors qu’elle était très mal parti au début. J’espère tellement qu’il va réussir ce qu’il entreprend.

Ce quatrième tome est marqué par la tension, l’angoisse à l’arrivée de la première épreuve. Et on ressent tout le stress que les élèves ressentent. Et plus particulièrement Yaguchi. Ce que j’aime le plus dans ce manga c’est le fait que les émotions sont si bien retranscrites que nous lecteurs nous les ressentons. L’angoisse de la première épreuve est si présent que j’avais presque l’impression que c’était moi qui allait la passer. En tout cas j’ai hâte de découvrir la suite de ce manga et voir quelles épreuves attendent Yaguchi!

Encore une série que j’avais mis de côté pour je ne sais quelle raison alors que je l’aime énormément. L’avantage c’est qu’au moins j’ai plusieurs tomes sous le coude, ça me permettra de me faire une bulle Blue Period pour mon plus grand bonheur! J’aime énormément beaucoup ce manga, j’aime découvrir l’épanouissement de Yaguchi au fur et à mesure que l’on avance dans l’histoire. Et puis découvrir toute ces choses sur l’art, je trouve ça vraiment passionnant et fascinant!

Dans ce cinquième tome, on retrouve Yaguchi ayant passé sa première épreuve au concours de Gendai. Malgré l’incident qu’il a connu durant cette épreuve, il a réussi à s’en sortir et a terminer son oeuvre. Mais à peine remis de leurs émotions, les candidats doivent déjà se remettre au travail dans l’espoir d’être admissible pour la seconde épreuve. 2preuve qui sera centrée sur la peinture à l’huile. Alors pour détendre et stimuler ses élèves, Mme Ooba organise une excursion un peu spéciale. Cette sortie décoincera-t-elle Yatora qui redoute la discipline qu’il va devoir aborder dans trois jours?

Tout comme les tomes précédents, j’ai adoré celui ci! Déjà visuellement parlant, c’est tellement un manga sublime à regarder. J’en prend plein les yeux à chaque fois et je trouve les planches vraiment merveilleuses à regarder. C’est une grande réussite autant sur le visuel autant que sur l’histoire. C’est une histoire profonde qu’on a là avec des personnages attachants. J’aime tellement le personnage de Yaguchi. Il est impliqué à 3000% dans l’art désormais, il ne veut faire que ça de sa vie. Il se met d’ailleurs parfois dans des états pas possible tant ça le travaille, il souffre notamment d’eczéma. J’ai également adoré suivre un peu plus le personnage de Yuka et puis son amitié avec Yaguchi. Yuka est un personnage vraiment touchant que j’aime vraiment beaucoup suivre. Dans ce tome on a également les résultats de la première épreuve du concours de Gendai! Et si vous voulez savoir qui a réussi, je vous laisse découvrir ça durant la lecture!

Encore une fois, on a un tome plus que réussi! Plus on avance dans l’histoire, plus je trouve ça intéressant. Déjà le premier tome était génial, mais vraiment plus on avance dans la série est merveilleuse. J’aime le fait d’apprendre énormément de choses sur l’art. Bien que ce ne soit pas un sujet qui m’intéresse de base, ici j’apprend énormément de choses et je trouve ça vraiment fascinant et c’est un vrai plaisir de se plonger dedans. Il me tarde maintenant de découvrir la suite!

Après avoir lu le cinquième tome, j’ai de suite enchaîné avec le sixième. J’avais tellement envie de voir si Yaguchi allait gérer sa deuxième épreuve et j’en passe. J’étais beaucoup trop impatiente et je ne voulais vraiment pas attendre. Ayant fini le sixième tome, là je n’ai qu’une envie me jeter sur la suite malheureusement je n’ai pas le septième tome sous la main, va falloir que j’attend un peu roh! Ce tome ci est tout aussi génial que le précédent! J’ai tellement aimé me plonger dedans, c’était beaucoup trop bien.

On retrouve Yaguchi qui, avec son autoportrait, a réussi à passer la première épreuve. Curieusement, il arrive à affronter la suite avec beaucoup de sérénité. Mais le jour le la seconde épreuve, il est pris d’un terrible mal de tête et son éruption cutanée s’intensifie. Il est tellement mal et surtout tellement de mal à rester concentrée qu’il finit par s’endormir en pleine épreuve! Finira t-il son épreuve dans les temps?

Dans ce tome, on se concentre sur la seconde épreuve du concours de Gendai. C’est une sacré épreuve qui attends nos candidats. Malgré le fait qu’il se soit endormi et que, par conséquent, il a perdu beaucoup de temps dans sa réalisation, Yaguchi ne se laisse pas abattre et donne tout ce qu’il a pour terminer sa toile. Il se remet beaucoup en question, ne cesse de changer d’idée mais il finit par trouver ce qu’il va vraiment faire et donne tout ce qu’i la dans la dernière ligne droite. Il arrive à obtenir ce qu’il voulait et surtout arrive à rendre sa toile en temps et en heure. Je ne dirais pas si il a réussi ou non à passer la seconde épreuve, il va falloir le lire pour le savoir.

Ce sixième tome ne déroge pas à la règle et est tout aussi excellent que les précédents. Je suis fan de cette histoire, de ces personnages, des messages que ce manga véhicule également. On ne parle pas simplement d’art, on parle aussi de remise en question ,du choix de l’avenir lorsque l’on est au lycée et j’en passe. Et c’est ce qui rend ce manga si merveilleux. C’est un vrai petit bijou, une véritable pépite. Il me tarde déjà de me plonger dans le tome suivant!

Ce manga est une vraie merveille et plus on avance dans l’histoire plus je la trouve intéressante. Bien que je n’y connaisse absolument rien en art et que ce ne soit pas un sujet qui m’intéresse vraiment, je dois bien avouer que Blue Period m’a fait changé d’avis. Ce que j’aime le plus quand je lis un tome de ce manga, c’est le fait que je sais d’avance que cette lecture va me plaire mais surtout on ne cesse d’apprendre tout un tas de choses. Et rien que pour ça, c’est hyper enrichissant.

Dans ce septième tome, on retrouve Yatora qui a réussi le concours d’entrée à Geidai du premier coup. Et c’est le moment pour lui de faire sa rentrée. Il est plein d’attentes mais également plein d’inquiétudes. Il fait ses premiers pas à l’Université des Arts de Tokyo pour goûter à sa nouvelle vie d’étudiant! Il va y faire des rencontres surprenantes mais il va également se confronter à la dure réalité des écoles d’art..

J’ai énormément aimé ce tome là. Yatora a réussi son concours d’entrée et je suis si fier de lui. Surtout qu’il l’a réussi du premier coup et ça faut bien avouer que ça reste un quasi exploit. Malheureusement, cette rentrée ne ce passe pas comme il l’aurait espéré. Il souffre du syndrome de l’imposteur. Il ne se sent pas légitime d’être ici et ne cesse de se remettre en question. Ça me fait beaucoup de peine de le voir comme ça. Comme il a commencé à dessiner que depuis peu, il pense qu’il n’a pas sa place ici comparé à certaines personnes qui dessinent depuis qu’ils sont enfants. Pas facile à gérer le syndrome de l’imposteur. Le problème avec Yatora c’est que lorsqu’il se retrouve confronté à une difficulté, il ne cesse de se rabaisser. J’espère qu’il finira par prendre confiance en lui!

Ce septième tome marque un tournant au manga, en effet on suit désormais Yatora étudiant à l’école d’art de Geidai. Je sens que la suite va être passionnante et que l’on ne va cesser de découvrir beaucoup de choses. J’ai hâte de voir si Yatora va remonter la pente et retrouver confiance en lui. Et puis j’aime le fait de toujours apprendre quelque chose sur l’art à chaque lecture. C’est super intéressant et surtout très enrichissant.

Avant même de me plonger dans la lecture, je sais pertinemment que je vais aimer ce que je vais lire. Il y a des romans ou encore des mangas comme ça qui nous plaise comme ça et on fait d’avance que chaque tome qu’on va lire va nous plaire. Même si on ne sait pas de quoi ça va parler, on sait. Blue period fait parti de ces histoires que j’aime énormément. Chaque tome est un vrai plaisir à découvrir. Cette histoire est de plus en plus intéressante et suivre les aventures de Yatora est hyper intéressant.

Dans ce huitième tome, on retrouve Yatora qui déchante vite après son entrée à Geidai. Non seulement il se sent incompétent comparé aux autres étudiants mais en plus de ça, les professeurs lui font comprendre qu’il doit commencer par oublier tout ce qu’il a appris jusqu’ici pour trouver sa propre identité artistique.. Rien ne semble gagné pour Yatora, qui est exaspéré autant que dépité. Mais il reste ouvert à la découverte d’autres centres d’intérêt!

Evidemment, sans surprise, j’ai encore une fois adoré ce tome! Le nouvel arc est particulier comparé au précédent. Alors ce n’est pas que je n’aime pas, bien au contraire! Mais le rythme à l’école des ats est tout de même particulier. Je m’attendais à suivre bien plus de cours que ça alors qu’en fait pas tellement. D’ailleurs, ils ne passent pas beaucoup de temps à l’université, les étudiants sont un peu laissés libre. On découvre de nouveaux personnages désormais même si ils restent assez secrets pour le coup. Enfin du moins on n’en sait pas trop sur eux. J’ai surtout hâte d’en apprendre plus sur Yakumo, ce personnage m’intrigue énormément! Il est plutôt drôle et surtout il est assez particulier.

J’ai hâte de découvrir le neuvième tome. Plus on avance dans le manga plus l’histoire devient intéressante. La vie étudiante de Yatora lui rend la vie assez compliquée. Il ne cesse de se remettre en questions. D’ailleurs plus il avance dans son année plus il doute. Et les réflexions que ses professeurs lui disent n’arrangent pas sa situation. Mais il ne cesse d’apprendre et ne lâche rien et ça c’est vraiment un trait de caractère que j’aime chez lui. A force il finira pas encore plus évoluer et prendre confiance en lui.

J’aime beaucoup ce manga mais alors ce que je préfère c’est me garder plusieurs tomes sous le coude et me faire des séances rattrapage. Enchainer les tomes c’est encore plus savourer cette merveilleuse histoire. Enfin ceci n’est que mon avis personnel. Mais en tout cas avoir plusieurs tomes à lire avant de vous mettre à jour, je trouve ça vraiment génial, surtout quand c’est un manga qu’on aime vraiment beaucoup. Après avoir lu le huitième tome, j’ai de suite enchaîné avec le neuvième tout juste sorti. Bien sûr encore une fois ce tome fut génial

Dans ce neuvième tome, on retrouve Yatora lors de la préparation du festival culturel de Geidai. Afin de préparer leur mokoshi en temps et en heure, ils travaillent tous d’arrache pied pendant plusieurs semaines. Mais ils n’en voient clairement pas le bout et croulant sous la chaleur de l’été, les étudiants atteignent leurs limites… Heureusement les renforts arrivent car il faut à tout prix terminer ce projet à temps. Mais en plus de ça, Yatora n’a pas peint une seule fois de toutes les vacances et ne retrouve plus la joie de dessiner..

J’ai beaucoup aimé la cohésion de groupe dans ce tome là. Le groupe de Yatora est vraiment en grosse galère à cause de la chaleur. Ils ont beaucoup trop de retard et cette chaleur n’arrange rien. Mais les autres vont venir les aider pour qu’ils puissent finir à temps pour le festival. J’ai beaucoup aimé cette solidarité qu’ils ont eu. Le festival était génial et surtout réussi et ça c’est le principal. Ce tome ci se consacre aussi beaucoup sur le personnage de Yotasuke. Il faut bien avouer que son personnage est vraiment très complexe, on ne sait jamais trop quoi penser de lui, un coup il souffle le chaud juste après il souffle le froid. Il est très réservé, vraiment ce personnage m’intrigue au plus haut point. J’espère qu’avec cette fin il se dévoilera bien plus dans la suite. J’ai hâte d’avoir le prochain tome entre les mains.

Encore une fois on a là un tome plus que réussi pour moi. Un peu plus centré sur l’aspect psychologique que sur l’art en lui même. Même si l’art garde sa place principale dedans. J’ai beaucoup aimé voir l’atelier fresque et celui mosaïque d’ailleurs. Mais je trouve qu’on a plus été axé sur les relations sociales, la cohésion de groupe etc. Et ça ne m’a pas déplu du tout. Cette fin m’intrigue beaucoup et je suis vraiment très impatiente de découvrir le dixième tome!

J’ai du mal à me dire que c’est déjà le dixième tome de ce merveilleux manga! Ça passe tellement vite c’est fou. C’est toujours aussi plaisant de plonger dans l’univers de Blue Period. C’est clairement un de mes mangas préférés et je ne m’en lasse jamais. J’attends chaque tome avec grande impatience à chaque fois. L’univers, l’intrigue, les personnages, c’est tellement passionnant. Comme je l’ai déjà dis dans mes chroniques précédentes, l’art ne m’intéresse pas et pourtant je suis toujours subjuguée par ce manga. Apprendre les différentes techniques pour peindre etc, je trouve ça vraiment enrichissant.

Dans ce tome, on retrouve les étudiants de Geidai qui entament leur dernier projet de l’année. Projet qui va déterminer leur passage au niveau supérieur. L’enjeu est d’autant plus grand que le sujet est libre et que des artistes de renom viendront évaluer leurs oeuvres. Ayant essuyé plusieurs coups durs, Yotasuke ne vient pratiquement plus en cours. Yatora tente de lui remonter le moral alors qu’il est lui-même assailli par le doute et se demande q’il aime vraiment peindre…

Ce que j’ai le plus aimé dans ce tome, c’est que l’on découvre bien plus en profondeur le personnage de Yota. Je trouve ce personnage fascinant et je me retrouve un peu en lui. Je le trouve hyper touchant! Yatora essaye de lui remonter le moral comme il le peut mais ce n’est pas chose gagnée. Mais au final, Yota admet que grâce à lui in n’abandonnera pas la fac. Dans ce tome ci, Yatora se retrouve confronté à leur dernier projet de l’année. Il a du mal à trouver l’inspiration, d’autant plus qu’il s’agit d’une sujet libre et c’est bien plus compliqué à trouver l’inspiration. Mais il finit par s’en sortir et sa première année à Geidei se termine déjà!

On a encore un tome parfait selon moi. C’est clairement le manga pour lequel on court à la librairie du coin le jour de sa sortie. Et aussitôt reçu, aussitôt lu. J’adore l’amitié entre Yatora et Yota, on continue d’explorer en profondeurs le personnages de Yota. Et je trouve que c’est un personnage hyper complexe et intéressant à suivre. Je suis déjà plus qu’impatiente de découvrir la suite de cette histoire et j’attends de pied ferme le onzième tome!

Encore un manga dont je suis extrêmement fan. Dès le premier tome, j’ai eu envie d’en découvrir encore plus. Et j’attends chaque sortie de tome avec beaucoup d’impatience. Bien que je ne sois pas une fan de l’art, ce manga m’a complètement scotchée. Je trouve déjà l’histoire vraiment passionnante mais en plus de ça, le manga est hyper enrichissant. On apprend énormément de choses et je trouve ça absolument génial de pouvoir apprendre autant de chose juste en lisant un manga. J’ai même du mal à me dire que nous sommes déjà au onzième tome, j’ai l’impression d’avoir à peine commencé à le lire!

Dans ce onzième tome, on retrouve Yatora qui voit sa première année à Geidei s’achever. Mais elle s’achève avec un sentiment d’amertume et de frustration pour lui, si bien qu’il veut prendre ses distances avec la peinture. Il se décide à faire autre chose tout en renflouant son compte en banque. Il répond à l’annonce d’une école de dessins afin de donner des cours aux enfants. Mais il ne se doute pas que la gérante de l’atelier n’est autre que son ancienne professeure d’arts plastiques, Mme Saeki!

J’ai énormément aimé ce tome, tout comme les précédents en même temps, mais je ne sais pas je trouve que ce tome si a un petit quelque chose en plus. Déjà, pour une fois, on ne se trouve ni au lycée ni à l’université. On suit Yatora dans son job étudiant qui consiste à donner des cours de dessin à des enfants dans une école de dessin. Ce boulot va se montrer enrichissant pour lui, il va voir comment enseigner à des enfants, comment s’y prendre etc. Mais même sur le plan personnel, il va se rendre compte de différentes choses tout au long des mois qu’il va passer là bas. J’ai beaucoup aimé la petite Sae, elle m’a profondément touché et m’a aussi fait beaucoup de peine. Cette gamine croule sous les activités et s’épuise petit à petit.. Une vraie perle cette petite Sae. J’ai aussi beaucoup aimé la façon dont Yatora a aidé le jeune Shôya, il a su le cerner, comprendre ce qu’il aime vraiment pour pouvoir l’aider. Je suis ravie de voir Yatora et Hashida ensemble, leur amitié est vraiment belle.

Encore une fois, ce tome est plus que réussi. On découvre Yatora hors du cadre scolaire et on le suit dans son job étudiant. Un tome qui m’a beaucoup touché au final avec les différentes histoires que l’on rencontre dans ce tome. C’était encore une fois enrichissant mais d’une autre façon que d’habitude. Alors que les tomes précédents sont enrichissants sur l’art en lui même, ici c’était enrichissant sur le plan social, on va dire ça comme ça. Yatora s’est posé beaucoup pas mal de questions sur lui même suite à cette expérience. Maintenant en route pour sa seconde année à Geidei!

J’avais tellement hâte d’avoir ce tome entre les mains! À la fin du tome précédent, Yatora avait terminé sa première année à Geidei, j’étais hyper impatiente de découvrir sa seconde année et surtout comment tout allait se goupiller pour lui par la suite. Je l’ai déjà dit un bon nombre de fois lorsque je parle de ce manga mais je le redis encore, quel bonheur de suivre les tomes les uns après les autres, de voir l’évolution de Yatora et j’en passe. On apprend tellement de choses à travers cette histoire. Et c’est ce côté là qui me plaît le plus dans ce manga. Le fait d’apprendre un tas de choses, c’est tellement plaisant!

Dans ce douzième tome, on retrouve Yatora qui entame sa seconde année à Geidei. Il est envahi par le doute et l’angoisse et ne ressent plus son enthousiasme des débuts. En plus, le professeur en charge de sa promotion n’est autre que l’impitoyable et stoïque M Inukai.. Mais des retrouvailles et surtout une rencontre très inattendue, vont peut être l’aider à retrouver sa passion pour l’art!

Ce tome est, sans surprise, génial. Yatora débute sa seconde année et ça commence très mal pour lui. Il se retrouve avec un professeur impitoyable et le premier sujet ne l’emballe pas plus que ça. Ils doivent réaliser 500 dessins en deux semaines. Mais Yatora va être semé de doutes. Plus son année avance et plus ils se posent de questions. Surtout depuis qu’il a intégré le collectif « No Marks ». Là bas, il va faire la rencontre d’une jeune fille qui va beaucoup l’aider mentalement. Mais il se sent encore plus perdu.. Il ne sait plus trop quoi penser, ni quoi faire. Le professeur est vraiment quelqu’un de très particulier, je ne sais pas trop quoi penser de lui, il me fait presque peur.. Le collectif No Marks va vraiment aider Yatora à avoir un autre regard sur l’art. Mais c’est aussi la découverte de ce collectif qui va encore plus semé le doute dans son esprit.

Comme d’habitude, maintenant j’ai hâte d’avoir la suite entre les mains. J’aime tellement voir le personnage de Yatora évoluer comme ça. on est loin du Yatora du premier tome, on peut dire qu’il en a fait du chemin depuis tout ce temps. J’aime le côté instructif du manga, on y apprend vraiment un tas de choses. Pourtant l’art n’est vraiment pas quelque chose qui m’attire mais ce manga est un vrai coup de coeur. Ça m’a permis d’acquérir des connaissances et c’est quelque chose que j’adore retrouver dans la lecture en général ça!

Je ne sais pas si c’est parce que ça faisait un moment que je ne me suis pas plongée dans un tome de ce manga mais j’avoue ne plus avoir le même entrain à le lire. Je ne dis pas que je n’aime plus ce manga attention, j’adore toujours autant apprendre autant de choses sur l’art etc mais je ne sais pas. Je crois que je commence à sentir un essoufflement au niveau de l’histoire. Peut être aussi l’impression qu’on tire la chose en longueur à force. Cette histoire me plaît mais en même temps je commence à me lasser un peu tout de même. Faut dire que ça fait un petit moment maintenant que ce manga a commencé!

Dans ce treizième tome, Grâce à sa rencontre avec Kirio Fuji, la présidente du collectif d’artistes No Marks, Yatora sent un vent nouveau souffler sur son approche de l’art. Malgré son admiration pour ce personnage charismatique, le jeune homme ne sait pas réellement à qui il a affaire et est encore hésitant sur la façon dont il doit la fréquenter. Cependant, son influence lui permettra peut-être de casser le mur qui l’empêchait d’avancer…

J’aime toujours autant, malgré tout, suivre Yaguchi dans son quotidien d’étudiant en art. J’aime beaucoup son personnage et ça depuis le premier tome. J’aime le voir évoluer dans son art mais aussi personnellement, le voir acquérir des tonnes de connaissances au fur et à mesure qu’il rencontre des personnes etc. Quand je pense au Yaguchi du premier tome, on est quand même très loin! Le Yaguchi de maintenant est bien plus à l’aise qu’au début. Même si il existe encore quelques périodes ou moments de doutes, et ça ça arrive, je trouve que son évolution est complètement dingue. La partie avec le No Marks ne pas vraiment emballé plus que ça. Au contraire, j’ai bien plus aimé le moment des vacances d’été! Yaguchi se retrouve embarqué avec d’autres chez Momo pour passer un mois là bas. Elle possède un hangar, ce qui est fort pratique quand on réalise de très grandes oeuvres. J’ai adoré le moment où ils mangent tous ensemble avec le père de Momo. Mais j’ai surtout adoré le moment dans la fameuse maison hanté! C’était vraiment une scène très drôle, bon personnellement à la place de Yaguchi j’aurais fais trois crises cardiaques mais bon haha. Ce tome se termine sur un bon petit mystère. Il me tarde de découvrir le prochain tome pour en apprendre plus sur tout ça..

C’était un tome plutôt bon à lire, le début m’a beaucoup moins passionné que la fin mais ce n’est qu’un détail. Même si je ne ressens plus autant de joie en lisant ce manga et surtout que je ressens un essoufflement au niveau de l’histoire, je prends quand même plaisir à continuer de suivre Yaguchi. Et le fait d’acquérir, moi aussi, des connaissances sur l’art alors que c’est un sujet qui ne m’intéresse pas le moins du monde, je trouve ça génial tout simplement!


Une réflexion sur “Blue period de Tsubasa Yamaguchi

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