Tatari de Watari

Le chat monstrueux Tatari était craint comme un grand démon dans l’ancienne capitale de Kyoto. Mais il a été vaincu lors d’une bataille contre les Onmy?ji et enfermé pendant mille ans. De nos jours, Tatari s’échappe de ses scellés et rencontre Takeru et Yuki, deux frère et sœur qui vivent une vie pauvre mais relativement heureuse. Cependant, Takeru est pris dans un conflit de succession de la mafia et il est assassiné ! Afin de protéger Yuki, Tatari décide de se déguiser en Takeru et d’accomplir la vie que voulait le jeune garçon pour sa famille !

Là j’avoue que j’ai été hyper curieuse en ce qui concerne ce manga. Le résumé a de suite titillé ma curiosité. J’avais très envie de le lire et je n’ai pas été déçue. J’ai vraiment passer à un très bon moment pendant cette lecture. Et je sens que je vais me régaler par la suite. Une histoire de vengeance sous fond de surnaturel, franchement ça donne tellement envie! J’ai très hâte que la suite soit disponible, surtout au vue de tout ce qu’il se passe à la fin.

Dans ce premier tome, le chat monstrueux Tatari était craint comme un grand démon dans l’ancienne capitale de Kyoto. Mais il a été vaincu lors d’une bataille contre les Onmyji et enfermé pendant mille ans. De nos jours, Tatari s’échappe de ses scellés et rencontre Takeru et Yuki, deux frère et sœur qui vivent une vie pauvre mais relativement heureuse. Cependant, Takeru est pris dans un conflit de succession de la mafia et il est assassiné ! Afin de protéger Yuki, Tatari décide de se déguiser en Takeru et d’accomplir la vie que voulait le jeune garçon pour sa famille !

Alors déjà j’ai beaucoup aimé le fait que ce soit un yokai qui soit au coeur de l’histoire. Ce petit côté surnaturel m’a vraiment beaucoup plu. Tatari est un grand démon qui été très craint. Il a été enfermé pendant mille ans et a enfin réussi à s’échapper de ses scéllés. Il s’est pris d’affection pour Takeru et Yuki, deux jeunes enfants qui doivent se débrouiller par eux même. Il va découvrir que Takeru a été assassiné et décide de prendre son apparence et mener la vie que Takeru voulait accomplir. Il va également en profiter pour pouvoir venger Takeru. J’ai vraiment adoré voir à quel point il s’est attaché à eux. Et le fait qu’il décide de prendre l’apparence de Takeru pour ne pas laisser Yuki seule montre à quel point il était attaché à eux. Cette histoire de vengeance me plaît beaucoup et j’ai très hâte de voir ce que ça va donner par la suite. J’ai adoré voir les différents combats que l’on a au fil de notre lecture. Ils sont dynamique et très bien réalisés. Les évènements qui se passent à la fin nous donne vraiment envie de lire la suite. Je me pose pas mal de questions mine de rien et j’ai hâte d’avoir des réponses.

C’est un premier tome plus que réussi pour moi. J’ai vraiment été curieuse de découvrir cette histoire et ça a été une très belle surprise pour le coup. Il nous donne envie de continuer la série et c’est bien dommage qu’il faille attendre pour avoir la suite. J’ai adoré les personnages tout comme l’histoire, le côté surnaturel de l’histoire apporte ce petit truc en plus et c’est très appréciable!

J’avais vraiment adoré lire le premier tome et j’étais très curieuse de voir ce que la suite allait donner. Surtout vu comment ce premier opus se terminait. Et bien cette suite est clairement dans la lignée du premier, c’est toujours aussi fascinant à lire. Que ce soit l’univers, les personnages ou l’histoire, tout me plaît et surtout tout est superbement bien amené à chaque fois. Maintenant j’ai hâte de lire la suite!

Dans ce second tome, Tatari est un grand yokai, un bakeneko, qui a pris l’apparence de son ami Takeru après sa mort. Il fréquentait le lycée à sa place, incognito, mais Haruka Abe, descendant d’un onmyoji, l’a démasqué, rouvrant ainsi la porte d’un affrontement vieux de 1000 ans ! Quelle sera l’issue de ce combat ?! Pendant ce temps, à Hong-Kong, une bataille éclate entre les héritiers Belter, Setsuna, et d’autres yokais !

Comme je viens de le dire, ce second tome était vraiment génial à lire. J’avais hâte de voir le combat entre Tatari et Haruka, c’était fascinant. J’ai aussi beaucoup apprécier le fait d’en apprendre plus sur les yokais, les différentes motivations qu’ils peuvent avoir etc. On en découvre bien plus sur la bataille entre les héritiers. Je sens que la suite va être hyper passionnante. J’aime beaucoup le personnage de Tatari, il a pris l’apparence de Takeru et doit donc se comporter comme si c’était un adolescent. Il va se retrouver à faire l’enquête aux côtés de Haruka. J’ai aussi adoré Sanpei, le petit yokai de Kawano, il est trop mignon je trouve et ça donnerait presque envie d’avoir un petit kappa à la maison! Je suis très curieuse de voir ce que la suite va donner vu comment ce tome se termine.

Je sens que c’est le genre de manga qui va devenir de plus en plus intéressant. Les personnages s’approfondissent, l’histoire évolue et surtout les conflits entre les héritiers et compagnie d’intensifient. Je me régale avec ce manga et je suis déjà impatiente de lire la suite. Vivement le mois de juillet que le prochain tome soit disponible.

Avec ce troisième tome, la série Tatari continue de nous plonger dans son univers rythmé par les combats, les rivalités et les liens entre humains et yokai. Cette fois, l’histoire prend une dimension plus large en quittant les terres familières pour s’installer à Hong Kong, une ville vibrante qui devient le nouveau théâtre d’un affrontement décisif. Dès les premières pages, on sent que ce tome sera marqué par une intensité particulière, tant sur le plan de l’action que sur celui des émotions.

Ce qui frappe dans ce volume, c’est d’abord le duel entre Tatari et Beriko. Sur le papier, Tatari semble supérieur, mais l’auteur nous rappelle ici que la force brute ne suffit pas toujours. Beriko, malgré sa faiblesse apparente, fait preuve d’une volonté et d’une détermination qui déstabilisent notre héros. C’est un rappel intéressant : parfois, ce n’est pas la puissance mais la rage de vivre ou de défendre ses idéaux qui fait la différence dans un combat. Tatari, encore marqué par la perte de Takeru, doit apprendre à ne pas se laisser enfermer dans sa soif de vengeance. Cette évolution est subtile mais importante : son personnage gagne en profondeur, partagé entre colère, douleur et le besoin d’avancer.

Le décor de Hong Kong ajoute également une ambiance nouvelle. La ville grouillante, mélange de modernité et de traditions, devient presque un personnage à part entière. Elle symbolise le lieu de convergence de tous les héritiers et de leurs yokai, rendant l’enjeu encore plus grand : la bataille qui s’annonce n’est plus seulement un duel, mais une épreuve collective où chacun devra montrer de quoi il est capable. Le fait que tous les héritiers soient rassemblés accentue la tension et prépare le lecteur à un arc qui risque d’être explosif. Au-delà des combats, le tome explore les thèmes de la rivalité, de la résilience et du poids des promesses. Tatari a juré de venger Takeru, mais la question qui plane est de savoir jusqu’où cette promesse le mènera, et si elle sera une force ou une faiblesse pour lui. Le contraste avec Beriko, qui combat avec une motivation sincère malgré son infériorité, permet aussi de réfléchir sur ce qui pousse chaque personnage à se battre.

En somme, ce troisième tome s’impose comme un tournant : il ne se contente pas de livrer des affrontements spectaculaires, il creuse les émotions des personnages et met en place une grande confrontation à venir. Tatari reste un héros puissant mais fragile intérieurement, et c’est précisément ce mélange de force et de faille qui rend la lecture captivante.


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